Figures

Chargement...
Couverture fascicule

Note sur l'inscription de la statue d'Amman J. 1656.

[article]

doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 129

NOTE SUR L'INSCRIPTION DE LA STATUE D'AMMAN J. 1656

PAR

F. Zayadine (PL III-IV)

La statue (1) dont nous republions ici l'inscription a été découverte en 1949, dans la cour de la maison d'Elias Qaqish, située au Nord-Ouest de la Citadelle d'Amman (Djebel el-QaFa), en dehors de l'enceinte romaine, mais dans les limites de la ville ancienne de Rabbat Ammon.

En effet, les fouilles effectuées en 1968 et 1969 au Nord de l'enceinte romaine par le Département des Antiquités et par M. R. Dornemann <2>, alors directeur du Centre Américain d'Amman, ont prouvé que la ville antique des époques du Bronze et du Fer s'étendait bien en dehors des murs romains. Un glacis datant du Bronze Moyen et en relation avec un mur massif prouve qu'il y a eu une occupation importante à Rabbat Ammon à cette période, considérée généralement par les archéologues, à la suite de N. Glueck, comme une période de nomadisme en TransJordanie. Sous le glacis du Bronze Moyen, R. Dornemann a ramassé des tessons du Bronze Ancien. Des structures importantes du Fer II ont aussi été dégagées.

La statue J. 1656 faisait partie d'un lot de quatre sculptures trouvées au même endroit lors de travaux de terrassement dans la cour de la maison citée plus haut. Malheureusement, le Département des Antiquités n'avait pu intervenir à temps pour entreprendre une fouille régulière et déterminer

(*) R. D. Barnett, ADAJ, I, 1951, p. 34-36 Cultural and Archaeological History of Trans-

et pi. XI et XIII. Jordan in the Bronze and Iron Ages, vol. I,

(') Voir sa thèse non encore publiée : « The Chicago, 1970, p. 49 ss.

9

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw