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Méthodologie de l'étude du climat dans les thèses régionales classiques : le cas des Alpes françaises (1925-1956)

[article]

Année 1982 11-1 pp. 45-55
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Page 45

L'Espace Géographique, n° 1, 1982, 4É-55. Doin, 8, place de l'Odéon, Paris-VI'.

Pratiques de Géographes

MÉTHODOLOGIE DE L'ÉTUDE DU CLIMAT

DANS LES THÈSES RÉGIONALES CLASSIQUES :

LE CAS DES ALPES FRANÇAISES (1925-1956)

Daniel LOI

Université de Paris I

ALPES (FRANCE) CLIMATOLOGIE

ÉCOLE RÉGIONALE FRANÇAISE

HISTOIRE DE LA GÉO.

MÉTHODOLOGIE

ALPS (FRANCE)

CLIMATOLOGY

FRENCH REGIONAL SCHOOL

HISTORY OF GEO.

METHODOLOGY

RESUME. — Voir comment les géographes régionaux ont étudié le climat, comment la critique des données stationnelles, le passage du réseau ponctuel à l'espace régional, le recours au « terrain » et les démarches explicatives ont été abordés dans une optique originale par l'esprit géographique, tels sont les sujets que cet article, dans le cadre des Alpes françaises, se propose d'aborder.

ABSTRACT. — Methodology of the study of climate by the French regional school : the Alps from 1925 to 1956. — Based on research works in the French Alps this article examines the original approaches made by geographers of the French Regional School to the study of climate, the critique of data, the transition from the research station network to regional space, the recourse to field observations and to explanatory procedures.

Cet article vise à rendre compte, à partir d'un travail plus important [10], des différentes étapes de la méthodologie climatique des géographes régionaux : collecte des données météorologiques, insertion de celles-ci dans l'espace régional, rôle du contact direct du chercheur avec les paysages et les hommes et types d'exposés explicatifs. L'intérêt s'est avant tout fixé sur les rapports au sens le plus large, entre la géographie et l'une de ses spécialités à un moment considéré comme important de l'histoire de la géographie française : celui de l'apogée des thèses régionales.

Le choix des Alpes — puisqu'une limitation assez étroite était de toute façon indispensable — présente l'avantage de fournir un milieu abondamment étudié, sous l'impulsion essentielle de Raoul Blanchard, animateur de « l'Ecole de Grenoble », et un milieu particulièrement riche sur le plan climatique.

Le choix des thèses résulte de leur caractère représentatif de l'œuvre géographique « supérieure et achevée » de ce qu'il est convenu d'appeler l'Ecole française de géographie. Les travaux de base retenus

(fig. 1 et bibliographie) s'échelonnent de 1925 à 1956. Ce sont ceux qui présentent une partie climatique de quelque consistance, ce qui exclut un certain nombre de thèses rurales et surtout géomorphologiques, limitation justifiée dans la mesure où le climat est étudié pour lui-même. Il reste neuf titres, dont l'un se consacre exclusivement à la climatologie (E. Bénévent), les autres étant des thèses régionales ou assimilées (deux thèses de géographie physique globale). Mentionnons deux légères entorses à la règle des thèses alpines : celle de D. Faucher est un peu marginale par rapport aux Alpes mais présente un intérêt certain; l'œuvre de R. Blanchard qui concerne bien les Alpes n'est pas une thèse, mais il aurait été inconcevable d'oublier l'énorme travail de celui qui a présidé, pendant plus d'un demi-siècle, aux destinées de l'Institut de Géographie Alpine.

Les titres de ces travaux de base, enfin, ne sont jamais cités dans le texte afin de ne pas alourdir les nombreux renvois aux sources : les noms d'auteurs et les numéros de pages renvoient à la figure 1 et à la bibliographie.

Daniel LOI

Université de Paris I

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