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Le Standard d’échange de données pour l’archivage (SEDA), un outil structurant pour l’archivage

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Année 2015 240 pp. 153-164
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La Gazette des archives, n° 240 / année 2015-4 Le Standard d’échange de données pour l’archivage (SEDA), un outil structurant pour l’archivage

Claire SIBILLE -DE GRIMOÜARD Baptiste NICHELE Issu d’une collaboration lancée dès 2006 entre les Archives de France et l’ancienne direction générale de la modernisation de l’État (DGME) dans le cadre de l’action 103 du programme d’administration électronique ADELE, le Standard d’échange de données pour l’archivage (SEDA) vise à faciliter l’interopérabilité entre le système d’information d’un service d’archives et les systèmes d’information de ses partenaires (services producteurs, versants, utilisateurs, etc.) dans le cadre de leurs échanges de données. Inscrit dans le référentiel général d’interopérabilité, le SEDA propose ainsi une modélisation des transactions pouvant intervenir entre un service d’archives et ses partenaires. Depuis sa création, le SEDA a progressivement été mis en oeuvre dans

différents contextes, par des applications de production, des tiers de télétransmission, des éditeurs de logiciels d’archives pour les services publics d’archives ou encore un certain nombre de prestataires de tiers-archivage dans le cadre de l’agrément délivré par le ministère de la Culture et de la communication pour la conservation d’archives publiques numériques courantes et intermédiaires. De ce point de vue, le SEDA a atteint son objectif d’interopérabilité. Depuis 2006, le SEDA a fait l’objet de deux révisions successives, respectivement en 2010 et 2012, puis d’une normalisation dans le cadre de la commission «interopérabilité technique » de l’Association française de normalisation (AFNOR) en partant des spécifications de la dernière version du SEDA. Ce travail a permis de donner une stabilité à ce standard. Cela a aussi

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