앙티오퀴스는 도입부에서 이미 베레니스에게 사랑의 열렬함과 작별 인사를 함께 고하는 애가적 연인의 여정을 시작한다. 제2 도입부라고 있는 2막 초에서 티튀스의 결별 결정으로 베레니스의 연인의 자격을 회복한 앙티오퀴스는 3막 끝에서 베레니스로부터 두 남녀 주인공을 결별시키려고 애쓰는 것으로 오해받아 게 되면서 베레니스로부터 그녀를 만나는 것을 금지 당한다. 그러나 앙티오퀴스는 두 주인공 간의 매개자로서 개입하는 동안 그들에게 정서적 영향력을 행사하는 간접적 역할을 수행한다. 베레니스에게 대한 결별 통지를 앙티오퀴스에게 위임하면서 티튀스는 베레니스에게 의심과 불안감을 자극하게 됨으로써 4막 이후로 베레니스의 강력한 저항에 직면하고 베레니스에 대한 사랑의 감정을 재발견하는 역설적 고통을 겪는다.
극작가는 앙티오퀴스의 줄거리를 주된 줄거리에 선행적으로 병렬시켜서 두 주인공들 간의 오해를 충분히 증폭시킨 다음에 그들을 만나도록 함으로써 극작품의 후반에서 베레니스를 앙티오퀴스의 뒤를 따르는 애가적 운명의 희생자로 만든다. 앙티오퀴스의 필연적이지는 않지만 진실임직한 개입은 단순한 주된 줄거리에 인물들의 동기부여의 변화, 그들 간의 만남의 정황의 특별함 그리고 정념의 자극에 의한 심리적 변동을 결부시켜 줌으로써 극작품에 극적인 밀도와 관객의 정서적 가담을 보장해주는 내적 줄거리를 형성한다. 앙티오퀴스의 줄거리는 4막의 정체기를 지나서 5막의 대미에서 동시적 병렬, 즉 중첩의 형식으로 주된 줄거리와 통합되기에 이른다. 앙티오퀴스는 만날 수조차 없게 된 베레니스에 대한 억제할 수 없는 사랑의 감정을 토로하면서 그녀에게 결별을 통지한 티튀스의 사랑의 진정성을 대변해준다. 앙티오퀴스의 줄거리가 극작품의 대단원에 가져온 진실임직하면서도 놀라움을 주는 극적 효과는 베레니스의 결별의 수락을 넘어서는 영원한 결별의 결단으로 나타난다.
이처럼 극작품은 주된 줄거리의 애가적 파국을 이차적인 줄거리의 애가의 완결로 해결함으로써 ‘장엄한 슬픔’을 창조한다. 극작품을 당대에 단순한 줄거리에 극적 진전이 결핍되고, 감정의 토로와 무기력한 탄식으로 점철되는 애가로 격하했다면 이는 앙티오퀴스의 줄거리가 주된 줄거리에 구축해준 내적 줄거리의 극적인 영향력과 감정적 효과를 충분히 평가하지 않았기 때문일 것이다.
Antiochus, personnage de l’intrigue secondaire commence son itinéraire d’amant élégiaque dès l’exposition par la déclaration simultanée de son amour passionné et de ses adieux. Antiochus se voit interdit de voir Bérénice au nœud où il se charge d’annoncer le renvoi, décidé par Titus, de Bérénice, car Antiochus est mal compris d’avoir cherché à séparer Bérénice de Titus, couple d’amour de l’intrigue principale. Antiochus perd sa raison de se présenter sur scène à la fin de l’acte III à cause de la dépossession de son rôle de médiateur entre deux protagonistes après qu’il a repris son titre d’amant de Bérénice à la suite de la décision de Titus. Pourtant, Antiochus remplit sa mission indirecte d’exercer son l’influence émotive en tant que médiateur entre eux, d’autant plus que Titus excitera, dans le délais de leur tête-à-tête, le doute et l’anxiété de Bérénice auprès de ce qu’il a en tête à partir de l’acte IV au point de provoquer la résistance violente de Bérénice à son égard, tandis qu’il deviendra une victime de sa propre douleur qui consiste à raviver son sentiment d’amour pour Bérénice paradoxalement après sa détermination de se séparer de la reine étrangère pour l’Empire. C’est en faisant éclater les malentendus entre deux protagonistes par l’intermédiaire de l’antériorité juxtapositive de l’intrigue secondaire par rapport à l’intrigue principale que le dramaturge rend Bérénice un successeur du l’itinéraire élégiaque qu’Antiochus accomplissait jusquà la fin de l’acte III. L’intervention d’Antiochus, peu nécessaire mais vraisemblable, permet de constituer l’intrigue intérieure qui assure à notre pièce tragique une densité dramatique et, d’ailleurs, une adhésion émotive du public de théâtre, en rattachant à l’intrigue principale des changements subtiles de la motivation chez les héros, des particularités circonstantielles de leurs rencontres, et des revirements psychologiques entraînés par l’excitation passionnelle. L’intrigue d’Antiochus revêt le mode de la juxtaposition simultanée, autrement dit l’intégration superpositive à la fin du dénouement après avoir parcouru une phase de pause, et, ensuite, de trouble à partir de l’entrevue décisive entre deux protagonistes. Antiochus suggère à Bérénice la sincérité sentimentale de Titus qui a déclairé sa résolution de sacrifier son amour à la golire en avouant son amour irrépressible pour Bérénice en rupture confirmée avec Antiochus. L’intrigue d’Antiochus y réalise son effet dramatique vraisemblable et surprenant dans la résignation héroïque à la séparation avec Titus pour toujours, réservée à l’amour ‘nostalgique’, ceci au-delà de la simple prononciation des adieux. La pièce tragique parvient à élaborer la ‘tristesse majestueuse’ en recourant à la solution de l’intrigue principale aboutie à la catastrophe élégiaque par la médiation de l’achèvement élégiaque de l’intrigue secondaire. Si l’on constate qu’elle faisait, à l’époque, l’objet des reproches quant au manque de l’évolution dramatique et au cascade de la déploration, ce sera parce que son époque n’a pas suffisamment apprécié l’impact dramatique et le pouvoir émotive que l’intrigue d’Antiochus met en œuvre auprès de l’intrigue principale.
Antiochus, personnage de l’intrigue secondaire commence son itinéraire d’amant élégiaque dès l’exposition par la déclaration simultanée de son amour passionné et de ses adieux. Antiochus se voit interdit de voir Bérénice au nœud où il se charge d’annoncer le renvoi, décidé par Titus, de Bérénice, car Antiochus est mal compris d’avoir cherché à séparer Bérénice de Titus, couple d’amour de l’intrigue principale. Antiochus perd sa raison de se présenter sur scène à la fin de l’acte III à cause de la dépossession de son rôle de médiateur entre deux protagonistes après qu’il a repris son titre d’amant de Bérénice à la suite de la décision de Titus. Pourtant, Antiochus remplit sa mission indirecte d’exercer son l’influence émotive en tant que médiateur entre eux, d’autant plus que Titus excitera, dans le délais de leur tête-à-tête, le doute et l’anxiété de Bérénice auprès de ce qu’il a en tête à partir de l’acte IV au point de provoquer la résistance violente de Bérénice à son égard, tandis qu’il deviendra une victime de sa propre douleur qui consiste à raviver son sentiment d’amour pour Bérénice paradoxalement après sa détermination de se séparer de la reine étrangère pour l’Empire. C’est en faisant éclater les malentendus entre deux protagonistes par l’intermédiaire de l’antériorité juxtapositive de l’intrigue secondaire par rapport à l’intrigue principale que le dramaturge rend Bérénice un successeur du l’itinéraire élégiaque qu’Antiochus accomplissait jusquà la fin de l’acte III. L’intervention d’Antiochus, peu nécessaire mais vraisemblable, permet de constituer l’intrigue intérieure qui assure à notre pièce tragique une densité dramatique et, d’ailleurs, une adhésion émotive du public de théâtre, en rattachant à l’intrigue principale des changements subtiles de la motivation chez les héros, des particularités circonstantielles de leurs rencontres, et des revirements psychologiques entraînés par l’excitation passionnelle. L’intrigue d’Antiochus revêt le mode de la juxtaposition simultanée, autrement dit l’intégration superpositive à la fin du dénouement après avoir parcouru une phase de pause, et, ensuite, de trouble à partir de l’entrevue décisive entre deux protagonistes. Antiochus suggère à Bérénice la sincérité sentimentale de Titus qui a déclairé sa résolution de sacrifier son amour à la golire en avouant son amour irrépressible pour Bérénice en rupture confirmée avec Antiochus. L’intrigue d’Antiochus y réalise son effet dramatique vraisemblable et surprenant dans la résignation héroïque à la séparation avec Titus pour toujours, réservée à l’amour ‘nostalgique’, ceci au-delà de la simple prononciation des adieux. La pièce tragique parvient à élaborer la ‘tristesse majestueuse’ en recourant à la solution de l’intrigue principale aboutie à la catastrophe élégiaque par la médiation de l’achèvement élégiaque de l’intrigue secondaire. Si l’on constate qu’elle faisait, à l’époque, l’objet des reproches quant au manque de l’évolution dramatique et au cascade de la déploration, ce sera parce que son époque n’a pas suffisamment apprécié l’impact dramatique et le pouvoir émotive que l’intrigue d’Antiochus met en œuvre auprès de l’intrigue principale.