Glaucoma screening by primary care physicians in southern Alberta: patterns, methods and deficiencies

https://doi.org/10.1016/S0008-4182(03)80092-3Get rights and content

Abstract

Background: This study was undertaken to determine the proportion of primary care physicians who routinely assess their patients for risk factors associated with glaucoma as well as the elements that underlie whether these physicians screen for glaucoma.

Methods: A brief, confidential questionnaire was distributed to primary care physicians on 3 occasions. The survey asked about the physicians' background, their glaucoma screening habits, reasons for not doing routine screening and measures that would help the physician begin to do screening. Responses were categorized and percentages calculated.

Results: Of the 161 questionnaires distributed, 49 (30.4%) were returned. Of the respondents, 53% claimed that they routinely screened for glaucoma; more urban than rural physicians did so (57% vs. 44%). Some of the screening methods documented were inappropriate. The reasons most often given for not screening were lack of equipment and skills, cited by 48% and 30%, respectively, of the physicians who claimed not to be currently screening. Most (85%) of the respondents who claimed to routinely screen for glaucoma said they would refer the patient to an ophthalmologist or optometrist if they suspected the condition. Among the measures that would help physicians currently not screening to begin doing so, training and access to equipment and facilities were most often suggested by those not currently screening as well as those routinely doing so.

Interpretation: If family physicians are an appropriate group to screen for glaucoma, and if mass screening for this condition is worth while, education and access to equipment are critical.

Résumé

Contexte : Cette étude avait pour objet d'établir le pourcentage des médecins des soins primaires qui evaluent systematiquement chez leurs patients les facteurs de risque associés au glaucome de même que les éléments sous-jacents qui indiquent si ces médecins cherchent à dépister la maladie.

Méthodes : L'on a distribué un bref questionnaire confidentiel aux médecins concernés à 3 occasions. Le document portait sur les antécédents des médecins, leurs habitudes de dépistage du glaucome, les raisons pour lesquelles ils ne faisaient pas le dépistage systématiquement et les mesures susceptibles de les aider à commencer à le faire. L'on a réparti les réponses par categories et calculé les pourcentages.

Resultats : En tout, 49 (30,4 %) des 161 questionnaires ont été retournés. Parmi les répondants, 53 % ont dit inclure le dépistage du glaucome dans leur routine, et ils étaient plus nombreux en milieu urbain que rural (57 % c. 44 %). Certaines des méthodes d'examen documentées étaient inappropriées. Les raisons invoquées le plus souvent par ceux qui ne font pas le dépistage étaient le manque d'équipement et de capacité, soit 48 % et 30 % respectivement. La plupart des répondants (85 %) qui ont dit faire systématiquement l'examen de dépistage du glaucome ont dit adresser le patient à un ophtalmologiste ou à un optométriste s'ils avaient des soupçons. Parmi les mesures susceptibles d'aider les médecins à commencer à faire du dépistage, qu'ils le fassent déjà ou pas les répondants ont suggéré le plus souvent la formation ainsi que l'accès à l'équipement et aux installations.

Interprétation : Si les médecins des soins primaires forment un groupe approprié pour dépister le glaucome et que cela vaut la peine de faire du dépistage massif pour cette maladie, alors la formation et l'accès a l'équipement sont essentiels.

References (4)

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Division of Ophthalmology, Faculty of Medicine, University of Calgary, Calgary, Alta.

Research Affiliate, Bow River Medical Specialists, Calgary, Alta.

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